Abbaye des vaux de Cernay
l'automne
Quelques chaises éparses restent désespérément vides; Le vent, ivre, ride la surface du lac et fouette comme une horloge déréglée les feuilles qui s'accrochent éperduement à leurs branches. Quelques promeneurs fleurtent de temps à autres avec les derniers rayons de soleil.
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