Etretat
Etretat
quand je prononce ces mots
c'est ton visage qui apparait
Tant d'années ont passé!
je suis au bord de ce précipice
marchant de guingois
Percant l'horizon
d'un regard brumeux
mes jambes s'érodent
Cette mer d'azur
pâle copie de tes yeux
m'attirent insensiblement!
Tel un goéland
sur son éperon rocheux
défiant le vent et l'immensité
je dévisage l'éternité
qui scintille et me murmure
ton nom! mon amour.
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