Soir d'hiver aux étang de cergy
une si belle journée
A L’habitude funeste du premier novembre
A la foule mornes et tristes des cimetières.
Je préfère respirer l’odeur de la terre
sur les chemmins aux multiples méandres .
Devant moi la nature dévoile ses merveilles !
des cygnes majestueux déploient leurs ailes !
dans ciel tournoient des faucons crécelles !
tout n'est qu'iruption de merveilles.
Des arbres lumineux, irigués de lumière,
Illuminent de leurs reflets , l’eau ridée et transparente !
Sur des parterres de feuilles aux couleurs chatoyantes
crissent mes pas lents longeants la rivière.
Dans les airs, canard, fauvettes, alouettes des champs
Dessinent des arabesques dans ce ciel luminescent.
Au loin j’entends la musique d’un manège d’antan
Clavecin fatigué jouant un air lancinant!
une péniche vol au rythme de la libellule.
au loin sur les collines, des vagues ondulantes
de laines effilochées, dansent une valse lente.
Bientôt la noirceur morbide du crépuscule
envahira cette nature flamboyante,
ainsi que mon âme chancelante!
mon visage se pare d'un masque de tristesse.
réminiscence émergeant de ma jeunesse.
fatigué,je rôde dans le froid , seul!
les squelettes de bois, aux ramures
Fines et Tortueuses, funèbre sépulture,
seront pour moi un insolite linceul.
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